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Shakespeare spaghetti. Lifting de choc pop et osé pour l’une des pièces de Shakespeare les plus digestes. Vincent Caire et Gaël Colin transposent les joutes verbales de deux soldats de retour de guerre (qui se déroulait à Messine, en Sicile) en plein coeur du Far West, mais d’un Far West post-classique, qui possède la couleur transalpine d’un film de Leone et la bande-son d’Ennio Morricone. Entre Le Bon, la Brute et le Truand, Mon Nom est Personne et Sacco et Vanzetti, l’imbroglio amoureux dans lequel pataugent Benedict et Claudio change de registre à vitesse grand V et, passé une scène où tout le monde se retrouve en corset pour une danse mélangeant John Ford et le French Cancan, glisse peu à peu vers un délire qu’on aurait aimé plus radical. A la fin de la représentation, Blake Edwards a (presque) dévoré Shakespeare et c’est tant mieux. Mention spéciale pour Gaël Colin – metteur en scène et interprète de Benedict – qui au fil de la pièce, révèle une authentique dimension comique. Enfin, et ce n’est pas rien, cette adaptation constitue pour les plus jeunes, une formidable porte d’entrée dans l’univers de Shakespeare. Mon fils, 11 ans, a adoré. CHARLIE HEBDO
Messine est en effervescence : Don Pedro est de retour de la guerre, victorieux. Accompagné de ses fidèles compagnons d'armes, Benedick et Claudio, il rend visite à Léonato, gouverneur de la ville. Suivi de près par son demi-frère Don John, fourbe, calculateur et avide de vengeance. Don John ? Eh oui, le Don Juan de Shakespeare est devenu américain. Exit l'Italie, place à la guerre de Sécession pour une adaptation Far West du classique Beaucoup de bruit pour rien. Don Pedro est un général yankee, son demi-frère, un ancien colonel sudiste qui crache comme les vrais cow-boys et dont chacune des apparitions est annoncée par la musique du film Le Bon, la Brute et le Truand. Côté décor, l'inévitable saloon avec ses portes battantes, son bar et son piano. Cette version western colle parfaitement à la comédie de Shakespeare. Avec un Benedick (Gaël Colin) drôle, attachant et sarcastique. LE POINT
Un classique shakespearien à la sauce western spaghetti… Il faut oser. Et surtout, il faut voir ! Le décor de Caroline Rossignol est d’ailleurs fort réussi, tout comme les costumes de Corinne Rossi. Ah ! l’ombre de Sergio Leone plane sur le spectacle… Sans complexe, les metteurs en scène Vincent Caire et Gaël Colin se sont attachés à privilégier l’aspect burlesque et ludique de la pièce de Shakespeare. Ils nous offrent des tableaux assez déjantés, hauts en couleur et ponctués de clins d’oeil aux musiques d’Ennio Morricone. Le résultat est immédiatement sympathique. Entre démonstration de square dance à mourir de rire, cascades relatives et bagarres épiques : ça pulse dans tous les sens ! Ils sont huit joyeux lurons sur scène et tous débordent d’énergie. Alors bien sûr, du bruit, ils en font. Mais ce n’est pas pour rien puisque c’est pour notre plus grand plaisir ! PREMIERE.FR
Une adaptation très cinématographique de la comédie de Shakespeare. Les clins d'oeil au Far West mythique des westerns américains donnent quelques moments cocasses – nous sommes dans un saloon, les personnages enchaînent les danses folkloriques, les soldats sont déguisés en femmes légères et chaque scène est ponctuée par de la musique d'Ennio Morricone. Ce "second degré" apparaît parfois comme un gadget décoratif mais les huit comédiens(ne)s ont du rythme et l'ensemble est très enlevé. Un spectacle divertissant même s’il manque un peu d’épaisseur. TELERAMA
Si l'aspect comique de cette pièce est particulièrement réussi, ses zones d'ombre tragiques sont également mises en valeur, notamment la répudiation de Héro par Claudio, déchirante. Avec ses boucles et son visage candide, Vincent Caire incarne avec justesse le jeune officier enthousiaste et naïf, tandis que Gaël Colin trouve la mesure entre le caractère spirituel de Bénédick et son côté presque niais lorsqu'il s'agit de parler d'amour. L'ensemble de la troupe fait un travail remarquable et maîtrisé, tout en laissant s'installer un grain de folie propre à séduire le public. Beaucoup de bruit pour rien au Far West était un pari risqué, mais payant : cette adaptation s'installe comme une évidence. Et dans la folie de ce folklore ouest américain, les thèmes majeurs de la pièce, en particulier la lâcheté des hommes face à leurs compagnes et la pression sociale sur les femmes, sont loin d'être oubliés. Bravo à Vincent Caire et Gaël Colin pour cette mise en scène. Beaucoup de bruit, certes, mais certainement pas pour rien dans cette heure et demi où le public se régale ! ARTISTIK RESO
Shakespeare accommodé à la sauce western spaghetti, il fallait oser. Et pourtant, ça passe comme une lettre à la Poney Express. Cette transposition n’enlève rien à l’esprit de Sir William, au contraire ; tout en le respectant, elle lui apporte un éclairage nouveau. Et même, la pièce gagne en rythme et en nervosité, ce qui ne gâche rien. En fait, elle présente un adroit cocktail entre Commedia dell’arte et cinéma burlesque. Si les scènes de comédie pure et les tableaux follement déjantés prédominent, les passages dramatiques sont scrupuleusement traités. Il est impossible de synthétiser ce spectacle en quelques scènes tant il est dense et riche. On est chez Shakespeare quand même ! Si nous, dans le public, on n’y pense pas toujours, eux ils le savent et ils gardent le cap. Cap à l’Ouest, certes, mais ils ne dénaturent pas. Et eux, quand il leur arrive de faire beaucoup de bruit, ce n’est pas pour rien, puisque c’est pour notre plaisir… CRITIKATOR
L’ambiance western est très réussie : décor mobile, lumière, costumes, et surtout la musique tout à fait spaghetti qui accompagne une troupe qui y croit dur comme fer tout en incarnant parfaitement l’esprit du théâtre shakespearien, à la fois bouffon et poétique, parfois les deux à la fois (« Je t’aime le premier janvier… » Oh là là, je ne vais pas m’en remettre !). Les comédiens dansent le cancan et chantent « Cotton-Eyed Joe », crachent et pissent comme des cow-boys, parlent un peu anglais pour notre plus grand bonheur, et dans cette ambiance loufoque, le texte de Shakespeare, judicieusement traduit et adapté, résonne avec beaucoup de naturel. De plus, comme je le disais, ça reste parfaitement dans l’esprit du Barde : les sept acteurs incarnent 19 personnages, se travestissent, font des jeux de mots, se battent à grands renforts de moulinets de bras et d’effets sonores, le public participe et rit à gorge déployée (surtout moi, hm hm)… et s’émeut dans les moments les plus forts, car chez le Grand Will, le drame n’est jamais loin de la comédie (et inversement : Shakespeare, c’est la fête !), et dans ce registre, les comédiens sont tout aussi bons. CULTURE’S PUB
Après le succès d’Amphitryon, ils reviennent au théâtre du Ranelagh, à Paris. En costumes de soldats yankees et robes de saloon, les comédiens se sont glissés dans la peau de personnages du Far West, peu après la guerre de Sécession. Pourquoi pas ? Cet esprit bon enfant n’ôte rien au charme de cette comédie, au contraire. Tout ici, des comédiens jusqu’à l’humeur « calembourgeoise » du dramaturge, respire la jeunesse et la gaieté. Un bol d’air frais à déguster en famille. FAMILLE CHRETIENNE
Si le comique de la pièce est remarquablement retranscrit, l’intensité dramatique de celle-ci est préservée. Les ruptures sont d’ailleurs terriblement efficaces et nous rappellent que nous sommes bien dans une pièce de Shakespeare. C’est là véritablement que se trouve la réussite de l’adaptation et de la mise en scène, et l‘efficacité du jeu énergique de l’ensemble des comédiens. Car à aucun moment, ils ne tombent dans la facilite et si le rythme est soutenu, voire « enlevé » (certaines scènes ont été raccourcis et certains personnages ont « disparus »), c’est toujours au service du verbe Shakespearien, phrases à double sens et jeux de mots compris. Vincent Caire, Gaël Colin et leurs acolytes prouvent avec talent et ingéniosité que l’écriture de Shakespeare est intemporelle et qu’un peu d’imagination peut la rendre accessible et ludique à tous, de 7 à 77 ans ! A voir de toute urgence… LA REVUE DU SPECTACLE
Autant le dire tout de suite : si vous êtes allergiques aux hommes dansant un square danse en justaucorps et bas résilles, si le comique de répétition vous ennuie, passez votre chemin, ce spectacle n'est pas pour vous ! Mais ce qui emporte sans conteste l'adhésion c'est le talent des comédiens au jeu très maîtrisé, campant à eux huit une vingtaine de personnages, capables de balancer les répliques les plus potaches suivies dans la foulée d'une tirade littéraire et de réussir au milieu de scènes complètement déjantées à nous servir une merveilleuse séquence d'une grande force dramatique lorsque Claudio humilie Hero le jour de leurs noces, dénonçant avec force la lâcheté des hommes et la malheureuse condition sociale des femmes.. REG’ARTS
Pari réussi pour la transposition au Far West dans une ambiance franchement spaghetti qui sied bien au caractère burlesque de la pièce. Les acteurs prennent visiblement autant de plaisir sur scène que les spectateurs dans la salle. C’est aussi l’occasion de découvrir un fort beau théâtre ancien, tout en bois et propice à la communion avec les acteurs qui envahissent l’espace. REGARDS EN COULISSES
Voilà une farce de pur vaudeville où les portes claquent à mesure que les cocus se planquent dans les placards. C’est virevoltant ! [la compagnie] Les Nomadesques est une troupe épatante. Une fois encore, on passe un moment absolument divin en leur compagnie. VSD
Un classique débridé ! Les Nomadesques proposent une formidable interprétation de la pièce du prince du vaudeville. Sept comédiens enjoués, un décor art-déco superbe, des costumes splendides, c'est la recette réussie de ce Dindon de Feydeau. L’énergie des comédiens, leur occupation de la scène, les chorégraphies, les claquements de portes et nombreux changements de costumes, participent d’une joie constante, toujours renouvelée. Hilarant de bout en bout, le public se paye une bonne tranche de ce Dindon loufoque servi sur un plateau royal. C’est un pur bonheur ! FRANCE INFO
La mise en scène de Vincent Caire, efficace et respectueuse des mécanismes de l’intrigue, portée par des comédiens qui jouent avec brio et légèreté tous les ressorts de ce théâtre, permet de vérifier que la force comique de l’auteur demeure intacte. POLITIQUE MAGAZINE
Je vous recommande aujourd’hui un spectacle irrésistible, il s’agit de la pièce Le Dindon, de Georges Feydeau. (…) Tout cela se déroule à un rythme effréné. Les sept comédiens débordent d’énergie, les quiproquos s’enchaînent avec bonheur… bref, j’ai aimé le grain de folie de la pièce et les rire sont garantis. VIVRE FM
Cette version signée par Vincent Caire est tout simplement jubilatoire ! Une mise en scène décoiffante assurée par une galerie de sept talentueux comédiens, tous plus cartoonesques les uns que les autres, qu’on suit avec délice. On suit avec enthousiasme cette comédie joyeuse pleine de turpitudes ingénieuses et jouée dans un rythme qui ne faiblit jamais. Une ambiance années folles des plus virevoltante. N'hésitez pas à partager ce moment de rire et de plaisir avec Les Nomadesques ! » L’ONDE BLEUE
Une efficace mise en scène trépidante. Divertissement assuré même pour le spectateur qui connaît le dénouement de l'intenable suspense quant à l'identité de celui qui sera le dindon de la farce. FROGGY’S DELIGHT
Une pièce tourbillonnante qui laisse le spectateur ébouriffé et endolori d’avoir trop ri. Un Feydeau comme on les aime. Vincent Caire met tout ce beau monde en scène avec beaucoup talent et d'enthousiasme dans un décor des années folles, choix très judicieux. Les acteurs ont la bonne note, jeu en osmose avec le genre mais jamais vulgaire. Bref, vous pouvez aller voir ce Dindonqui ne vous décevra pas, si vous aimez Feydeau. THÉÂTRE À PARIS
Dans ce grand classique du genre, les portes claquent, les amants se croisent, le tout dans une atmosphère énergique et plaisante. Les décors et costumes années 1920 sont soignés. Quiproquos et doubles sens réjouissent le spectateur. France CATHOLIQUE
Tous les ingrédients sont là pour divertir et faire rire. La pièce est située dans les années folles, et c'est bien vu, la folie est partout dans la mise en scène ! Les comédiens s'en donnent à coeur joie, ils ont du dynamisme et le sens de la comédie. Certains jouant plusieurs rôles avec beaucoup de talent. Une bonne comédie à voir pour se délasser en cette période si difficile. THÉÂTRE PASSION
« Un pur moment de bonheur. Une mise en scène ébouriffante. C’est hilarant. Tout simplement jubilatoire ! » FRANCE NET INFOS
Voilà un Feydeau comme on les aime : les quiproquos jaillissent, les portes claquent, les répliques fusent à un rythme trépidant, les personnages croustillants de loufoquerie… La mise en scène au cordeau esprit cartoon teintée par le brin de folie des années folles de Vincent Caire est ébouriffante de vitalité. Ce tourbillon de malentendus et de péripéties rocambolesques est absolument excellent et irrésistible. Les sept comédiens sont hilarants. Ce vaudeville est tout simplement jubilatoire d’un bout à l’autre. COUP DE THÉÂTRE ♥♥♥♥
Une mécanique burlesque condensée et portée à sa quintessence, et insuffler en le situant dans les années 20 une folie scénique débridée – inspirée du cartoon – parfaitement huilée. SINGULAR’S
L’équipe de la Compagnie LES NOMADESQUES a du talent à revendre. Soutenons là en allant applaudir son savoir faire, celui d’actionner la mécanique si bien huilée de FEYDEAU avec les ressorts et les poulies d’une boite à musique qui roucoule « Mais qu’est-ce qui fait donc courir les hommes et les femmes ? » L’amour et le sexe, le tout panaché car il y a du panache dans l’air chez FEYDEAU pour de rire, un zeste de tendresse et du rêve. LE MONDE.FR
La Compagnie LES NOMADESQUES se régale et ne ménage pas ses effets. De très beaux décors, qui se changent en musique avec une précision horlogère. Du beau travail de chacun d'eux. Une Mise en Scène dynamique de: Vincent CAIRE. Une belle soirée. SORTIR A PARIS
Dans cette version, Vincent Caire le metteur en scène l’a transporté dans les années 30, sur fond de musique Charleston. Dans cette mise en scène dynamique où les portes claquent, les décors virevoltent, on se laisse transporter par cette comédie. MARCEL MAGAZINE
Du grand vaudeville où chaque personnage est plus que ce qu’il prétend être. Le tout dans des décors Arts décos- années folles de belle tenue et avec une mise en scène au cordeau qui relève presque de la comédie musicale, on apprécie le panache de l’exubérante anglaise jouée avec verve par Karine Tabet. PARIS CAPITALE
Pour son vingtième anniversaire, la compagnie Les Nomadesques s’attaque à cette délirante comédie en 3 actes du génial Georges Feydeau, autrefois dédaigné pour sa plume frivole et facile mais aujourd’hui considéré comme l’une des références de l’écriture comique. Rompu aux textes du répezrtoire (Marivaux, Goldoni, Molière, Hugo, Beaumarchais…) revisités à l’envi et offerts à un large public, le fondateur et metteur en scène, Vincent Caire, a toujours eu une passion pour le vaudeville. Qui donc mieux que le « pape » Feydeau en cadeau d’anniversaire ? 7 merveilleux comédiens pour un si joyeux moment de théâtre endiablé et très « cartoonesque », divinement mis en scène dans des décors et costumes des années 20 particulièrement soignés. C’est hilarant ! PLANET CULTURE MONTMARTRE
La compagnie les Nomadesques a créé un western débridé, drôle et plein d’action. Les frangines savent dégainer les revolvers, les bagarres et coups de feu se succèdent sur des bruitages de cartoons et fond de BD des années 1970. La cheffe, surnommée Tornada, explose quand ses projets humanistes sont mis à mal, Lélia est la reine des arts martiaux et la caution zen du groupe en folie. Elle débite des proverbes, astucieux ou abscons, qui font rire le public. Pouffie, la plus jeune et la plus sexy, est aussi la plus cruelle avec les méchants. Tout ce beau monde galope, boit des verres, se défoule sur des ritournelles ringardes à la guitare. Un spectacle jubilatoire qui bouscule la légende des Dalton. LE PARISIEN
Rien ne manque : banjo, portes de saloon qui claquent, shérif à chapeau de shérif, bastons, fusillades et courses poursuite, farouches Indiens, chevauchées à travers les plaines, évasion de prison et french cancan en froufrous… Les six interprètes ont une énergie folle, et la comédie est menée tambour battant. Les dialogues fusent, croustillants à souhait, parsemés de référence qu’apprécieront les adultes – sans pour autant égarer les enfants. Les jolis décors « vintage » sont astucieux, manipulés à vue au fur et à mesure de l’histoire, pour transformer les lieux en un tour de main. Les costumes savamment patinés sont tout aussi réussis. Les plus petits se régalent tout particulièrement des jeux de bruitages, équivalents hilarants des ZimBoumPifPaf Tacaclop Tacaclop Pan Pan Aaargh des bulles de BD. Un joueur de banjo-ménestrel pas loin d’être aussi horripilant qu’Assurancetourix distille des apartés loufoques et hilarants. Second et premier degrés rivalisent pour réjouir l’assemblée.
Les Nomadesques, compagnie qui a déjà mitonné quelques spectacles qui sont devenus des incontournables du Jeune public (tel « Le loup est revenu » à l’affiche depuis 10 ans sans faiblir !), ont composé là un spectacle familial malin, enlevé, joyeux, bien produit, et qui, ce qui ne gâte rien, se laisse savourer aussi bien par les adultes que les enfants avec un plaisir contagieux. Un futur classique ? PIANOPANIER
« Nous ne serons jamais les sœurs des frères Dalton ! »
Le spectacle revisite et détourne tous les codes du western, dans un décor drôlement bien fichu, à la fois simple et très efficace (les comédiens retournent à vue des coins pour transformer en un tourne-main un saloon en prison). Comme le décor, simple et efficace, c’est l’air de rien que les comédien.ne.s déploient l’étendue et la multitude de leurs talents. Ils s’en donnent à cœur joie et en rajoutent juste ce qu’il faut. On dirait qu’ils s’amusent, mais en réalité ils sont superpro ! Ils chantent, dansent, jouent du banjo, multiplient les gags et les aphorismes, chorégraphient des bastons… le tout avec une bande son calibrée au millimètre. Même si ma fille de 5 ans a eu un peu de mal à bien comprendre toute l’histoire, elle a aimé ce spectacle dont l’énergie est communicative. Ma fille de dix ans, elle, a bien rigolé. Quant à ma sœur de 55 ans m’a dit en sortant « c’est le meilleur spectacle que j’ai vu depuis longtemps ». C’est donc carton plein pour les Dalton.e.s. Bravo aux Nomadesques ! ETAT-CRITIQUE
C’est un vrai petit western burlesque parsemé de bagarres et de coups de revolver, mais aussi de musique. de chansons et de danses de style French cancan. Le texte et la mise en scène de Karine Tabet nous tiennent en haleine tout le long par le suspens et les effets très spectaculaires bien appréciés du public. Les comédiens nous régalent par leur jeu pittoresque et leur grand talent. À ne pas manquer ART CULTURE EVASION
Une manière ludique et joyeuse de faire découvrir aux plus jeune le plus célèbre auteur de l’histoire du théâtre. FIGAROSCOPE
Le résultat est surprenant. Avec une énergie débordante, et dans une ambiance burlesque déjantée, le trio enchaîne des scènes emblématiques du Bourgeois gentilhomme, de l’Avare, du Malade imaginaire… Les artistes sont tour à tour servante rebelle, jeune fille à marier, père autoritaire, amoureux naïf… En sortant du spectacle, votre enfant n’écrira pas une thèse sur Molière mais il aura découvert l’auteur (ce qui est déjà bien) et surtout il aura beaucoup ri (ce qui est encore mieux) !
VERSION FEMINA FFF
Avant que les bambins n’étudient ces classiques à l’école, voici une manière ludique et intelligente de leur faire découvrir quelques chefs-d’œuvre du maître Molière.TELE LOISIRS
Grâce aux 3 acteurs remarquables de talent et de générosité avec leur jeune public, le pari est largement gagné. Un spectacle intelligent, ludique et drôle. LE PARISIEN
De quoi donner goût aux œuvres de ce monument du théâtre ELLE
Un énorme coup de cœur. Des comédiens habités par une énergie hallucinante (Compagnie les Nomadesques), on a tout Molière. À voir absolument, rires et fourires garantis. Ma grande (10 ans) a tellement aimé qu'elle a décidé de lire quelques pièces de Molière. C POUR LES PARENTS
Les fantastiques comédiens ne ménagent pas leur peine, investissent toute la scène mais également le reste de la salle, changent de tenue en un clin d’œil pour interpréter tantôt un bourgeois tantôt une servante, tantôt un philosophe, insèrent habilement des anachronismes très drôles, interagissent avec les jeunes qui en redemandent et rient aux éclats ! PARIS TRIBU
Fort indisciplinés, ces trois comédiens donnent l'occasion d'expérimenter en live les quatre différents types de comique : les comique de situation, de geste, de mots et de caractère. D'ailleurs, du caractère et des caractères, il n'en manque ni chez Molière, ni chez ses comédiens ! Par les décrochages réguliers des trois pitres qui occupent la scène, on entend aussi à plaisir, entre deux scénettes, que Molière "ne s'est pas foulé" à reprendre régulièrement des morceaux de phrases complètes dans ses pièces ! On n'y oublie pas non plus la farce et les coups de bâton (en mousse !) chers à certaines pièces du dramaturge. Le jeu est souvent grandiloquent, c'est vrai, un chouia caricatural mais plaisant et il convient tout à fait à un jeune public. On sort de là avec plein de répliques célèbres en tête, de "Que diable allait-il faire dans cette galère ?" à "Au voleur !", "Bagatelle !" ou encore "Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage." A voir en famille ! LA GRANDE PARADE
Les Nomadesques se sont taillés une solide réputation dans le théâtre jeune public en quelques années. Les téméraires s'attaquent cette fois à Molière avec le pari d'un scénario reconstitué qui va puiser ses répliques dans les trente-trois pièce de Maître Poquelin. Les comédiens jouent en trio et en alternance, piochant dans les coulisses à vue leurs nippes et accessoires les plus inattendus. RUE DU THEATRE
Un spectacle aussi fou que burlesque AIR FOR KIDS
Une version résolument fantasque du conte de Charles Perrault qui joue sur le comique de répétition. Formules, pantomimes et mimiques caractérisent des personnages burlesques réinventés : le futur marquis accumule les niaiseries, le roi est sourd et la princesse parle et se comporte de façon incontrôlable... Un décor en ombre chinoise avec effets vidéo pour une adaptation comique réussie. TELERAMA TT
Succès fou oblige, le héros – très revisité – de Charles Perrault joue ici les prolongations. Personnages imaginés par les mêmes créateurs que Le loup est revenu !, le roi Sourdoreille et la princesse Artichaut se relaient pour épater un public en culottes courtes. Lequel rit volontiers aux bourdes et autres situations burlersques, oubliées de la version « classique ». FIGAROSCOPE
Ce chat nous botte ! Si l’histoire de Perrault est connue de tous, le spectacle de la compagnie Les Nomadesques en surprendra plus d’un, grâce à des personnages totalement burlesques : le chat est vaniteux, son maître bête comme ses pieds, le roi comprend tout de travers et sa fille vit avec plein de tocs incontrôlables… Une version comique avec des dialogues cocasses , dans un décor original d’ombres chinoises et de projections vidéos. LE PARISIEN
Notre coup de cœur, à partager en famille. Un sacré coup de patte. La compagnie Les Nomadesques propose au théâtre Le Ranelagh, une version burlesque du chat botté. Les personnages sont volontairement caricaturaux : le matou est susceptible, son maître simplet et le roi complètement sourd. Les costumes colorés et les gags prouvent que cette troupe et ce conte étaient félins pour l’autre. VERSION FEMINA FFF
Après Le loup est revenu !, Vincent Caire et Karine Tabet revisitent le conte de Perrault en réinventant des personnages hauts en couleur : le chat est arrogant et vaniteux, le jeune homme un peu simplet, le roi sourd comme un pot, la princesse ne contrôle pas ses TOC et l’ogre, cruel et facétieux est la star du dancefloor … Une adaptation cartoon hilarante ! AIR FOR KIDS
« Au boulot matelot, au boulot asticot, au boulot amigo ! » C’est avec ces rimes que l’on pénètre peu à peu dans l’histoire largement revisitée du « chat botté » de Charles Perrault. Ce conte, qui n’est pas des plus moraux, les Nomadesques s’amusent à le torpiller avec un humour et un talent fous. Dans un décor d’ombres chinoises réhaussées d’effets video, les personnages burlesques usent de la pantomime, comme le roi Sourdoreille qui comprend tout de travers et sa fille, la princesse Artichaut, incapable de contrôler ses tocs. Quand au chat, il ne maîtrise pas sa susceptibilité. Une adaptation comique très réussie qui fait bien rigoler les marmots. PARISCOPE
Un spectacle percutant )à l’énergie communicative à voir impérativement et en famille, pour le plus grand bonheur du jeune public. Une adaptation haute en couleur, drôle et décalée, du conte de Perrault. On ne parlera pas de l’histoire, ni du talent et de l’entrain des quatre acteurs, ni aussi de la mise en scène virevoltante, ni des costumes et décors imaginatifs, bien que tout ceci concourre au succès de cette pièce joyeusement burlesque ; non, l’essentiel est la façon enthousiasmante avec laquelle ces comédiens savent mettre les enfants dans leur poche, les faire vibrer, crier et chanter avec eux. Cette interactivité est le vrai moteur du spectacle et les parents seront ravis de voir leurs enfants participer autant. Un spectacle percutant à l’énergie communicative à voir impérativement, et en famille, pour le plus grand bonheur du jeune public. LA PROVENCE ****
A grands coups d’épée et de Jo Dassin, on suit la truculente aventure de Jules qui devra affronter gloubignasses, goinfrosaures et autres maux et merveilles pour réussir sa quête. Après le succès de « Le loup est revenu ! », la compagnie signe à nouveau une adaptation réussie de l’auteur jeunesse Best-seller Geoffroy de Pennart. Entre jeux de mots et autodérision, on partage le plaisir visible des comédiens qui enchaînent les scènes à un rythme effréné. Un spectacle d’humour pour enfants qui fera également rire les adultes (à moins que cela ne soit l’inverse). LA PROVENCE
Courez le voir ! BFM TV
Au-delà de l’intrigue fort drôle, les personnages bien campés (la princesse autoritaire, le dragon roublard et jaloux, le chevalier intrépide et fougueux) font le bonheur des petits spectateurs. Les scènes s’enchaînent sans temps mort au rythme des plus belles chansons de Joe Dassin qui feront fredonner les… parents ou grands-parents accompagnateurs ! Coup de chapeau aux costumes variés et originaux qui participent au charme du spectacle et au professionnalisme des trois comédiens, engagés à 100 % dans leur partition et ravis d’amuser petits et grands.
Une belle sortie théâtre pendant les vacances de la Toussaint pour les enfants à partir de 3 ans. Allez-y ! COUP DE THEATRE ©©©
Entre jeux de mots et autres calembours, dans un rythme cadencé de musiques de Joe Dassin, on rit et on s’amuse. La compagnie réussit toujours à incarner des personnages décalés auxquels s’identifier. L’univers de Geoffroy de Pennart, auteur jeunesse chouchou des petits et de leurs parents lecteurs, leur va à merveille. Des costumes géniaux. La compagnie réussit toujours à incarner des personnages décalés auxquels s’identifier. Un savoureux moment à partager en famille. À voir ! ETAT-CRITIQUE.COM
Une heure d’aventures trépidantes avec des costumes de monstres graphiques et chamarrés, des chansons de Joe Dassin et un public appelé à participer aux aventures. Les plus jeunes ne se font pas prier pour donner des indications au chevalier et répondre à ses interrogations déclamées à haute voix. L’ambiance est des plus électriques, la bienveillance est de mise et le plaisir total. Les plus grands sont ravis de l’auto dérision perpétuelle qui accompagne tous les dialogues et toutes les réparties, personne ne se prend au sérieux sans pour autant devenir ridicule. Un beau moment d’humour partagé en famille! PUBLIK’ART
Les costumes sont superbes et la mise en scène ingénieuse faisant souvent participer les enfants incarne à merveille l’univers des aventures de Georges le dragon. IT ART BAG
On trouve dans l’univers de Geoffroy de Pennart et dans l’adaptation de Karine Tabet un humour, une fantaisie, un deuxième degré déjà très présents dans « Le Loup est revenu » ! qui sont évidemment au centre de ce spectacle. Un soin particulier a été apporté aux costumes et aux monstres. L’ensemble a été entièrement réalisé par la Compagnie des Cousus, une compagnie de Blois, spécialisée dans les marionnettes de toutes tailles. C’est une grande réussite. Tant au niveau esthétique que zygomatique. ARTS CULTURE EVASION
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Georges le dragon, la princesse et le chevalier intrépide est une histoire tirée du livre éponyme de Geoffroy de Pennart, qui a aussi écrit Le Loup est revenu !, un livre qui est lu dans presque toutes les maternelles de France. Désormais, il adapte aussi son livre Georges le dragon avec la compagnie des Nomadesques au théâtre du Ranelagh, pour le plus grand bonheur des petits et des grands. Un grand moment de théâtre à ne pas manquer ! SORTIR A PARIS
Des personnages burlesques ou attachants, qu’on suit avec sympathie. TÉLÉRAMA
Un grand moment est celui où Vincent reçoit les parents d’élèves. C’est un vrai tour du monde. Les enfants doivent faire le lien entre leurs parents et les professeurs, ils sont les interprètes de leur propre peine. On peut légitimement douter de l’exactitude des propos traduits, le dialogue en Wolof est formidable. Nous engageons tous nos lecteurs qui savent parler le Wolof de prêter main forte à ce pauvre professeur de mathématiques, qui perd son latin dans les méandres de l’administration. Entre Kafka et la guerre des gangs, avec une dose énorme de générosité, notre professeur de maths ne veut pas déposer les armes, il pense que le salut passe par l’enseignement. Si le spectacle nous fait rire, parfois jaune devant les incohérences d’un système qu’il ne fait pas bon de vouloir dégraisser selon un ministre, à l’heure d’une énième réforme sujette à contestations, il est juste d’essayer de comprendre le malaise des enseignants. Le dynamique Vincent Caire joue les candides avec beaucoup d’esprit. Nous lui donnons un 20 /20 pour son brillant oral. WEBTHÉÂTRE
Un spectacle ébouriffant ! Vincent Caire a un humour ravageur. Infiniment de tendresse et de la générosité dans ce spectacle jubilatoire et ludique. Un vrai régal. A découvrir et à méditer » LA SEMAINE DU PAYS BASQUE
En effet, il réussit à se mettre dans la peau d’une bonne dizaine de personnages au moins, usant de mimiques et maniant une large palette d’accents. Dans le collège « Molotov », je voudrais : le principal raciste M. Mouduc, la déléguée des parents d’élèves Mme Suspin, M. Poissard le parent d’élève endormi, le délégué syndical nonchalant et surtout Farid, le prof de techno à l’accent du sud-ouest qui prend sous son aile M. Caire quand celui-ci se fait « bolosser » par ses élèves. Ces derniers aussi sont mis à l’honneur pendant le spectacle par le biais d’une représentation caricaturale mais plutôt drôle, entre tchip, verlan et interjections diverses. L’administration de l’Éducation Nationale en prend aussi pour son grade et l’on nous raconte la joie de remplir un dossier de centaines de pages pour obtenir une subvention dérisoire, ou encore le parcours du combattant pour tout simplement toucher son salaire. La loufoquerie est poussée à l’extrême mais ça sent le vécu ! L’énergie que met Vincent Caire au service de ce spectacle est contagieuse. REG’ARTS
« Un spectacle plein d’astuce et jubilatoire. Une mise en scène réussie et rythmée. Vincent Caire a d’excellentes énergies et du charisme. Il sait raconter son expérience difficile avec humour. À noter sur vos agendas. » PARIS SUR SCÈNE
« Un spectacle incroyable, véridique, à la fois tendre et caustique » SORTIZ
Figaro, valet du comte Almaviva, s’apprête à épouser Suzanne, la camériste de la comtesse. Mais le comte menace de s’opposer à ce mariage si ladite Suzanne ne cède pas à ses avances… Le début d’une folle journée riche en intrigues et rebondissements. Derrière le burlesque des situations, cette comédie créée en 1784 met en lumière le conflit existant entre les nantis de l’Ancien Régime, accrochés à leurs privilèges, et une jeunesse pleine de fougue. Cette version de l’œuvre de Beaumarchais (1732-1799), interprétée avec entrain, a de quoi séduire un large public. TELERAMA TT
Après une version western de Beaucoup de bruit pour rien, de Shakespeare, que l’on avait applaudie en 2010, Vincent Caire et la compagnie Les Nomadesques sont de retour au Ranelagh. Cette fois-ci, c’est au « Mariage de Figaro » qu’ils s’attaquent. Pour monter ce Beaumarchais, le metteur en scène n’a pas eu recours à la transposition de l’œuvre dans un univers qui lui serait totalement étranger. La proposition nous avait particulièrement séduits à l’époque et on aurait volontiers signé les yeux fermés pour un nouveau décalage. Là, ce ne sera pas le cas mais rassurez-vous, le burlesque, la truculence, l’enthousiasme et l’ énergie sont eux toujours bien de la partie. Et il en faut de l’énergie, pour nous donner à voir la folle journée que s’apprête à vivre Figaro. Quiproquos et retournements de situations s’enchaînent du lever au coucher du soleil. C’est ce foisonnement qui fait le sel de la pièce de Beaumarchais. Vincent Caire n’en a pas perdu une miette. Dans une version colorée et très adroitement resserrée, ou des virgules musicales andalouses viennent ponctuer les évènements et les gags, tout file à cent à l’heure. L’astucieux décor en panneaux mobiles nous emmène aux quatre coins du château en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Sur le plateau, les sept comédiens ont belle allure dans les chatoyants costumes de Corinne Rossi. Côté interprétation, on force le trait pour définitivement renforcer le comique de la pièce. La salle se gausse. On vous conseille de partager le moment avec vos adolescents, ils vont adorer ! PARISCOPE
Un décor très ingénieux, avec portes, fenêtres, possibilités de transformations. Des costumes très colorés. On est un peu dans le climat de films comme La Folie des grandeurs de Gérard Oury avec Louis de Funès. C’est un peu irritant au début. Il manque de l’épaisseur, par exemple, dans le personnage du comte Almaviva joué pourtant avec une sacrée santé par Damien Coden. Mais cet agacement est erroné, se relativise quand l’efficacité comique de la mise en scène prend toute sa puissance. Car, si on perd un peu de l’ampleur de la pièce, de sa mise en lumière du XVIIIe siècle, on est emporté par la gaieté d’un jeu qui n’a peur de rien et, utilisant les accessoires les plus simples, représente de manière très heureuse les quiproquos, les malentendus et les prises de bec. Gaël Colin est un Figaro d’aujourd’hui, détaché, qui rirait de tout comme un Edouard Baer. Elodie Colin est une Suzanne au style populaire et d’une allégresse contagieuse. Karine Tabet est une comtesse attachante (le personnage le plus sensible d’un spectacle plus rieur que tourné vers l’émotion). Cédric Miele est un drôle de Chérubin : un gros poupon ! On peut découvrir la pièce avec cette équipe, qui la sert à sa façon, drôle et talentueuse. GILLES COSTAZ (LE MASQUE ET LA PLUME)
La compagnie Les Nomadesques nous invite à passer un bon moment au théâtre du Ranelagh jusqu’au 19 avril. Comique de situation, manigances et bondissements de taille nourrissent comme il se doit une pièce que l’on a plaisir à découvrir, ou à redécouvrir. Une intriugue chasse l’autre dans un rythme effréné. Elodie Colin est une pétillante Suzanne et la troupe fait preuve d’une belle énergie pour servir cette grande farce dont on ne saurait oublier qu’elle fut en son temps , jugée si dangereuse que le roi Louis XVI en retarda la représentation aussi longtemps qu’il put. SORTIR A PARIS
On les avait repérés avec "Beaucoup de bruit pour rien" de Shakespeare montés à la manière d'un western. Voici la Compagnie des Nomadesques revenus au Ranelagh avec ce "Mariage de Figaro", mené à 100 à l'heure par de jeunes comédiens super-vitaminés qui font de cette comédie sociale une espagnolade farcesque, entre flamenco et commedia dell'arte, sans jamais gommer la verve révolutionnaire du propos. On rit, on est embarqué, touché aussi par le talent et la fraîcheur des comédiens qui n'économisent pas leur générosité. L'adaptation de la pièce est efficace et juste, tant cette "Folle Journée" est aussi celle du triomphe des petits contre les nantis et la revanche des femmes contre les seigneurs trop machos. Une grande pièce décidément à recommander à partir de 10 ans. ARTISTIK RESO
Si Beaumarchais était à l’époque un visionnaire, Vincent Caire est un digne successeur. Dans sa mise en scène on retrouve en effet tous les ingrédients qui font du « Mariage de Figaro » une comédie rocambolesque à l’humour grinçant : le comique de situation, le comique du geste, le comique du mot. Sans oublier de nombreux quiproquos et le travestissement magnifiquement interprété par Franck Cadoux.
Drôle, enjouée et délicieusement efficace, la mise en scène du Mariage de Figaro de Beaumarchais par Vincent Caire et la compagnie Les Nomadesques a totalement séduit la rédaction de Quejadore. PARIS QUEJADORE
Dans cette version écourtée de l’oeuvre de Beaumarchais (1h30), l’accent est mis sur l’humour, l’infidélité et le triste rôle dévolu aux femmes de ce temps. Le Mariage de Figaro? Laissez-vous convier à la noce, vous allez y passer une folle journée ! Surtout ne ratez pas l’occasion d’y emmener vos enfants (de préférence au dessus de 9 ans) BSC NEWS
La Cie « les Nomadesques » fait depuis 2010 l’unanimité auprès du public et de la presse, avec les succès de « Beaucoup de bruit pour rien » de Shakespeare en 2010, et « Le Loup est revenu ! » à l’affiche 4 années de suite. Cette pièce très drôle de Beaumarchais fait mouche auprès d’un large public, du plus jeune adolescent aux plus âgés. Les nombreux personnages sont parfaitement maîtrisés par les comédiens. La mise en scène de Vincent Caire est originale, créative, minutieuse et efficace. On ressent beaucoup de plaisir à suivre, à un rythme endiablé, les multiples intrigues et rebondissements, joués avec enthousiasme et énergie par d’excellents comédiens. LA CRITIQUERIE
les comédiens virevoltent, les répliques fusent, les décors coulissent et les tableaux s’enchaînent pour nous faire (re)découvrir cette célèbre satire sociale de Beaumarchais. Réjouissant. Dans ce décor très élégant, habillé de tentures jaunes et de méridiennes en velours, cette talentueuse troupe de théâtre nous conte les rebondissements d’une intrigue bâtie essentiellement sur le complot et les quiproquos. L’ensemble, très enlevé, parvient toujours faire oublier un langage parfois daté, tel le monologue où Figaro se raconte dans l’acte V. les costumes aux couleurs flamboyantes de Corinne Rossi illuminent ce spectacle. Et chaque scène est ponctuée d’accords de guitare sèche ou d’extraits musicaux aux accents flamenco pour une version colorée, pétillante très « recommandable » de la plus célèbre pièce de Beaumarchais. RUE DU THEATRE
Un très bon spectacle, enlevé, beaux costumes, une mise en scène de Vincent CAIRE dynamique et inventive avec d’excellents comédiens vifs au ton juste et une présence effective sur scène
Une actualité incroyable car ne pouvant avilir l'esprit, on se venge en le » maltraitant » Je recommande vivement au plus grand nombre d'aller assister à ce spectacle. PARIS SUR SCENE
Dans un décor habile et transformable, tout est en place : les comédiens, dans des costumes chatoyants, virevoltent avec grâce. Ils entrent, sortent, courent, se dissimulent, s’échangent vite fait des répliques… et on y est. La pièce de Beaumarchais tient et comment, la distance. En résumé, la Cie Les Nomadesques a bien fait de nous restituer ce « mariage ». Elle l’a fait sans respect excessif mais en gardant ce qu’il y avait d’essentiel. Un vent de fraîcheur circule sur scène : Antonio a le nez rouge, Bris d’Oison bégaie et les personnages se figent drôlement pour exprimer leur stupeur. Et c’est très bien comme ça ! REG’ARTS
La mise en scène de Vincent Caire, comme d'habitude, a la précision d'un horloger, mécanique parfaitement huilée et rouages tout en fluidité. Les évènements se succèdent sans répit, séquencés par des virgules musicales... ponctuant gags, mimiques grimaçantes ou ruptures de situations.
L'ensemble de la troupe embrassent avec générosité les successions de scènes sur un rythme endiablé et les répliques fusent, ne laissant aucun répit aux spectateurs emportés sur le tapis volant des quêtes amoureuses. Les comédiens manient la langue du XVIIIe avec dextérité, aisance et jubilation. Leur enthousiasme, cette énergie déployée à interpréter leurs rôles sont réjouissants pour le spectateur. Le parti pris des Nomadesques est celui d'un spectacle gai et intelligent, d'une comédie sans retenue, sans complexe mais sans excès non plus... Le choix du burlesque pour dépeindre le grotesque de cuistres nobliaux ! LA REVUE DU SPECTACLE
La pièce adopte ici des allures de vaudeville à connotation farcesque car le trait est certes, délibérément forcé mais le tout est joué avec un tel brio et à un tel rythme que nous ne saurions nous en plaindre. THEATRAUTEURS
Condenser toute l’histoire de la comédie en à peine plus d’une heure de spectacle. Un pari osé qui se révèle gagnant avec la compagnie Les Nomadesques. Prenez la verve de trois comédiens déchaînés ainsi que des dialogues pétulants et le tour est joué, vous gardez en éveil votre assistance. Dans « Toute la comédie … ou presque ! », Karine Tabet, Gaël Colin et Franck Cadoux interprètent au total 82 personnages. C’est dire l’énergie déployée pour raconter l’évolution du théâtre de la création à aujourd’hui. Sont convoqués sur les planches Aristophane, Shakespeare, Molière, Goldoni, Arlequin ou même Christophe Colomb ! Deux éléments mobiles en bois composent le décor et se muent dare-dare en mur, en colonnes, en écran de téléphone. Devant « Toute la comédie … ou presque ! » les enfants s’amusent tout en s’instruisant. Et les parents pourraient bien apprendre deux trois choses sur le sixième art. LE PARISIEN, dans la sélection des 8 spectacles à voir en famille à Paris
Après avoir monté tout Molière en une heure et deux minutes, les Nomadesques tentent un pari encore plus fou : raconter toute l’histoire de la comédie en moins d’une heure. Un spectacle azimuté qui permet de (re) découvrir les grands auteurs comiques. FIGAROSCOPE
Un très bon moment d’humour et de rire où on apprend en plus beaucoup de choses sur l’histoire de la comédie. LA NOTE DES ENFANTS
Il fallait le grain de folie de cette troupe atypique pour s’attaquer à ce challenge. Entre vaudeville, commedia dell’arte et stand-up, de la préhistoire à YouTube, de l’antiquité grecque à Christophe Colomb, les spectateurs voyagent dans le temps avec jubilation. Les acteurs convoquent Aristophane, Plaute, Molière, Goldoni, Marivaux, Feydeau… pour notre plus grand plaisir.
C’est tellement plein d’énergie, d’inventivité et d’enthousiasme qu’on ne peut s’empêcher de rire et de laisser emporter dans ce raz de marée jubilatoire ! Sans compter que le texte, entre deux extraits de grands (ou plus obscurs) auteurs, n’oublie pas de distiller nombre de vraies, et souvent fort peu connues, anecdotes sur le théâtre et la comédie, et leur histoire. LA GRANDE PARADE
Raconté avec brio, un condensé d’histoire, d’humour et de folie. Un spectacle familial quelque peu azimuté que petits et grands apprécieront sans hésitation. – SORTIZ
Ce spectacle est aussi distrayant qu'instructif, un régal. Bravo ! – FOU DE THÉÂTRE
Instruire en s’amusant, pari encore réussi par Les Nomadesques ! – RUE DU THÉÂTRE
Les Nomadesques, la troupe de comédiens du « Loup est revenu » de « Tout Molière ou presque » ont concocté un « Cendrillon » burlesque, avec bruitages et décors inspirés de cartoons. Le spectacle reste fidèle au conte de Perrault. Sauf que Cendrillon chante le tube du groupe téléphone, tandis que le prince se languit de trouver l’âme sœur en grattant sur sa guitare « pour un flirt avec toi, je ferais n’importe quoi… »
La fée ? une brunette tête en l’air qui hurle beaucoup, court partout avec une baguette magique rechargeable et parvient à changer une citrouille en caroose. Les décors à plat sur roulette, permettent de modifier rapidement l’ambiance sur scène. Romane, 7 ans a beaucoupà aimé les « effets spéciaux ». Les sœurs, incarnées par deux comédiens, ne parviennent pas à glisser leurs pieds dans l’escarpin argenté. Les chamailleries et bêtises de ces « jumelles » rythment le spectacle, injectant humour et légèreté. Même burlesque, ce « Cendrillon » a réussi à faire rêver les fillettes. LE PARISIEN
Cette Cendrillon n'est pas comme les autres ! Connus pour "Le Chat botté", "Tout Molière... ou presque !", les Nomadesques offrent une adaptation détonnante de la fameuse histoire de princesse souillon.
La belle-mère, le prince, les soeurs diaboliques... Les personnages deviennent ici hilarants, à la fois burlesques et décalés. De fille aimée à servante puis amour du prince du royaume, Cendrillon est traitée avec humour et folie pour les petits spectateurs. CITIZEN KID
Une adaptation truculente et détonante du conte de Perrault. Bravo ! Après les succès du Loup est revenu, Le Chat Botté et Tout Molière… ou presque !, la compagnie Les Nomadesques revisite aujourd’hui le élèbre conte de Perrault adapté par Walt Disney. Le trône, le carrosse, la robe apparaissent comme par enchantement. Les scènes du Disney deviennent comme des tableaux, certains fluorescents mettant en scène Cendrillon, le bal, les soeurs, la marraine, le prince charmant et l’amour. On retrouve tout ce qu’on aime des spectacles des Nomadesques dans cette nouvelle création: beaucoup d’humour dans les mots, les situations, un grain de folie, des personnages tordants, burlesques, décalés, et une énergie débordante ! Le duo des deux soeurs Javotte et Anastasia comme Dupond Dupont nous font rire. Dans l’oeil des Nomadesques, elles sont plus amusantes que méchantes . Le prince, lui, cherche une princesse le coeur sur la main. La marraine invente une formule magique répétée gaiement par les enfants : Poulet frit et poulet froid, p’tipipi et têtes de chat. Les tubes actuels rythment l’ensemble et font danser petits et grands. Les enfants, l’oeil qui brille, applaudissent, participent. Les plus grands se disent que décidément on adore la Compagnie Les Nomadesques qui revisite nos classiques avec talent et imagination débordante. ETAT-CRITIQUE.COM
Une adaptation détonante du conte de Perrault. On y retrouve tous les ingrédients qui ont fait le succès des Nomadesques : Beaucoup d’humour, un grain de folie et des personnages hilarants aussi burlesques que décalés. LA NOTE DES ENFANTS
Bravo !
La mise en scène est géniale, le lit est à la verticale, le Prince entre ses deux parents, le rendu est extra. En effet Vincent Caire, le metteur en scène, a pensé la mise en scène façon cartoon, les éléments « roulent » sur scène telle une bulle de BD, on passe très facilement d’un décor à l’autre. La pièce est surtout portée par l’énergie folle des comédiens.
C’est une pièce dynamique, la salle est utilisée, la marraine se déplace, le public est sollicité pour le plus grand plaisir des enfants. Attention tout n’est pas transformé, les indispensables sont respectés, les enfants retrouveront avec joie et émotions le bal. Les Nomadesques pensent à TOUS les publics, les enfants et les parents. Les parents se régalent de certaines répliquent et apprécieront la bande originale.
Une adaptation pêchue, originale, burlesque de Cendrillon qui séduira toute la famille. APPELEZ MOI MADAME
C'est à une adaptation détonante du conte de Charles Perrault que nous convient les artistes de cette excellente troupe, une pièce pleine de peps et de joie de vivre !
On retrouve bien sûr l'histoire classique, mais jouée à seulement quatre comédiens, qui alternent les rôles avec brio. Les enfants s'amusent franchement, et sont à plusieurs reprises invités à participer au spectacle, pour leur plus grand plaisir. Les adultes, quant à eux, se régalent des multiples références et clins d’oeil qui parsèment la représentation et les font souvent éclater de rire : les jumelles et leur "je dirais même plus" directement hérité de Tintin par exemple, ou encore la reprise des "soeurs jumelles " de Legrand, et même, pour les plus anciens, la chanson-thème des sketches de Laurel et Hardy. Et qui ne se souvient pas de "Pour un flirt avec toi" ? Et puis, bien sûr, la musique qui accompagne chaque entrée de l'horrible bellemère est reconnaissable entre toutes – mais je vous en laisse la surprise ! Les personnages sont hilarants, et l’humour burlesque frappe juste. La mise en scène est particulièrement inventive et parvient, avec bien peu de choses, à créer décors et atmosphères aisément identifiables. Les acteurs font preuve d'une énergie et d'un bonheur de jouer très communicatifs. Comme lors de leurs précédentes comédies ("Le loup est revenu" et "le chat botté", également à l'affiche à l'Alhambra), les enfants et les adultes s'amusent franchement et passent un excellent moment! C’est drôle, intelligent, jamais mièvre, tenu sur un rythme effréné avec ce petit grain de folie qui est la marque des Nomadesques. Pour finir, laisser la parole à la fillette de 7 ans qui a vu le spectacle en notre compagnie. À la question de savoir ce que nous devions dire dans la critique, elle a répondu un "C'est troooop bien" enthousiaste, auquel on se joint volontiers ! LA GRANDE PARADE
On doit cette nouvelle adaptation à une tribu de 4 excellents comédiens – et comédiennes – qui s’amuse à parodier de manière certes quelque peu exagérée mais néanmoins drôle, façon BD ou cartoon, ces fameuses fables et autres histoires magiques qui ont tant bercé notre jeunesse des petits « effets de transformation » plutôt réussis un ton décalé, bourré de références musicales. L’intervention des 2 soeurs « jumelles », aussi méchantes, laides et ridicules l’une que l’autre, est un morceau d’anthologie à lui tout seul ! Vous l’aurez vite compris, si vous voulez vous aussi vous amuser avec vos « chères têtes blondes », vous savez ce qu’il vous reste à faire… SORTIZ
Les 4 comédiens tirent à merveille sur la corde de l'amitié, du joyeux bazar et de la soumission aux ordres. Les personnages sont fidèles au livre. Les ritournelles entrent dans la tête des minots ravis de chanter en sortant de la salle "on est des copains, on est des copines ». La vie hors cadre est finalement celle qu’on savoure le plus. LE PARISIEN
A ne pas rater ! LE JOURNAL DU DIMANCHE
Cette adaptation théâtrale du best-seller de Nathan, par Marc Boutavent et Astrid Desbordes, judicieusement mise en scène par Vincent Caire, est une jolie histoire qui peut enchanter nos tout petits dès l’âge de quatre ans.On doit saluer les comédiens de la Cie Les Nomadesques, débordants d’énergie, qui nous amusent beaucoup, y compris naturellement les enfants, captivés pendant toute la représentation. ARTS CULTURE EVASIONS
Cette adaptation de Edmond et ses amis a un côté très rock and roll tant par la musique présente tout au long du spectacle, participant à l’ambiance de folie sur scène et dans la salle. Dès que la musique résonne, les petits ont envie de bouger et de s’amuser comme les acteurs sur scène, qui débordent d’une énergie communicative. Les petits spectateurs sont captivés par les costumes hauts en couleur et par l’intrigue de ce chef pas si utile que ça. ART IT BAG
Une comédie chantante et déjantée signée Karine Tabet à découvrir absolument ! FIGAROSCOPE
Incontournable. ELLE
Saluons l’adaptation très réussie par Karine Tabet de l’album de Geoffroy de Pennart. Cette histoire à rebondissements fonctionne à merveille auprès du jeune public. La mise en scène énergique et inventive de Vincent Caire permet aux comédiens d’interpréter pas moins de 16 personnages et favorise l’échange avec les spectateurs. À découvrir absolument. Une heure de rire et de frissons garantie. PARISCOPE
Courez vite le voir ! Adapté de la célèbre BD de Geoffroy de Pennart, ce spectacle est un bonheur pour les sens, de 3 à 77 ans. On y rigole, on y mange, on y tape des pieds. De la vitamine A en concentré. TÉLÉPOCHE
Une adaptation fidèle de l’ouvrage plébiscité par les écoles, pleine de rebondissements et d’humour. VERSION FÉMINA
Une comédie pleine de rebondissements et de clins d'oeil façon cartoon, un spectacle qui joue sur la peur, celle atavique du loup, mais une peur délicieuse dont les enfants raffolent. Au final, les petits prennent un plaisir fou. Un spectacle incontournable pour un loup tout autant incontournable. LA PROVENCE
Une adaptationde l’album jeunesse de Geoffroy de Pennart, jouée façon cartoon, tendance guignol. Un spectacle pour jouer avec la peur avec un effet cathartique. TELERAMA
Coup de cœur. Une véritable réussite qui a su séduire aussi bien les enfants que les parents. LA NOUVELLE RÉPUBLIQUE
Le succès ne se dément pas depuis huit ans ! REG’ARTS